Résumé
Dans un contexte de droit international public, la traduction apparaît comme un instrument créateur de droit «dans le cadre d’institutions et d’organisations, en général, internationales». La traduction des traités permettra de faire «foi dans les différentes langues officielles». Au niveau de l’Union européenne, la traduction est reconnue «au titre du principe du multilinguisme intégral». En droit international privé, la traduction «sert à l’application du droit». Ce n’est cependant pas sous cet angle que le professeur Salah Basalamah, membre de la Faculté des études supérieures et postdoctorales et professeur agrégé de l’École de traduction et d’interprétation de l’Université d’Ottawa analyse le droit de traduire. En effet, dans son ouvrage intitulé Le droit de traduire. Une politique culturelle pour la mondialisation, il propose une approche archéologique du droit de traduire.
Les commentaires sont fermés.