Résumé
Dernièrement, on vérifie une tendance juridique internationale de préservation de la diversité culturelle, qui est comprise comme patrimoine de toute l’humanité. À ce sujet, il faut surligner le rôle joué par l’UNESCO, et concrètement l’adoption de la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles – en vigueur. Parallèlement, la communauté internationale a commencé à reconnaitre que les peuples autochtones de toute la planète, qui sont les garants authentiques et dépositaires de la diversité culturelle, ont une série de droits spécifiques, de noms variables et de large contenu matériel, qui génèrent des obligations, de résultat et de comportement, pour les États. Ces droits sont destinés à assurer leur autonomie et à préserver leur identité culturelle différenciée. Ce travail porte fondamentalement sur les confluences existantes entre la protection de la diversité culturelle et la reconnaissance des droits des peuples autochtones. Il a comme point de départ la prémisse que les avances dans ces champs, avec ses spécificités et champs concrets de réglementation, se renforcent et s’enrichirent, aidant à consolider une branche émergente du droit international appelé à protéger la diversité culturelle.
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